Le Bigorneau : Bigornette

Chien et chat !

Miaou ! fait le chat au chien, Wouaf ! fait le chien au chat, je ne suis pas d'accord, dit le chat, moi non plus, répond le chien. Bon ! alors j'aboie, décide le chat, eh bien, moi je miaule, rétorque le chien. Vous voyez bien que tout problème a sa solution ! Il suffit d'y mettre un peu de bonne volonté. Pour mieux comprendre votre patron, adoptez son langage, votre patron fera de même. Il vous demandera une augmentation, vous la lui refuserez, bien sûr ! Là seulement, il comprendra qu'il faut vraiment qu'il vous l'assure. Et c'est à ce moment-là, précisément, que vous aurez enfin pigé, qu'il...

Solidarité...

Dans les couloirs du métro parisien, dans le petit matin humide et frileux, les travailleurs fatigués se hâtent, pressés, vers les escaliers pour rejoindre, stressés et anxieux, debout dans les wagons bondés, leur destination : bureaux, magasins, banlieues. Ce matin, pas de grève, mais demain commenceront les trajets périlleux, pour ces gens courageux, involontaires otages d'un conflit ennuyeux. Espérons que face à tous ces orages, tout le monde garde un peu de raison, pour que rapidement, un accord soit signé, et que chacun reprenne dans la quiétude, ses petites habitudes, pour aller au boulot....

De bout en bout...

Après l'histoire de "garde à vue", mon texte prémonitoire, comme vous le savez j'ai été malade, le garde-boue du vélo avait été réparé avec un bout de ficelle, mais j'ai gardé mes "bouts de choux" à la maison. Ce petit bout de rappel pour vous mettre un peu dans le sujet du jour. Je suis heureuse de vous annoncer que je tiens le bon bout. En effet, je vois le bout du tunnel, heureusement car je commençais à être à bout. Marre des frissons, marre du rhume et des maux de tête- mais oui j'en ai une, bien faite et bien pleine (sourire). Vous avouerez, si je me mets à écrire à l'avance l'avenir, nous...

Rupture...

Rupture ... Dans la rue je déambule, déprimée, sans but , égarée, Il n'y a pas eu de préambule, d'un coup, ta colère a éclaté, inutile et injustifiée, je n'ai pas su quoi rétorquer, quand tu as dis ne plus m'aimer. En un instant, la vue brouillée de larmes que je n'ai pu retenir, je n'ai vraiment rien pu te dire. Tant d'années de vie ensemble, maintenant, encore, j'en tremble. Comment comprendre et accepter, que nos vies se séparent ainsi, et qu'à jamais tout soit fini ? Tu étais l'homme de ma vie : l'as-tu seulement un jour compris ?

Un peu de ciel...

Lettre ouverte à un ami...

Je voudrais vous parler d'un ami, quand j'ai ouvert mon premier blog, j'ai aprécié certains conseils d'un blogueur, au fil du temps je pense que nous avons noué une belle amitié. Dans les moments de censure , avec tous les autres potes un lien s'était crée. Si je vous parle de lui, c'est que si j'ai réussi à me faire un petit monde , il m'y a bien aidé, son blog était le rendez-vous journalier de tout un groupe, nous avons passé de bons moments, sans aucune ambiguité, pour moi c'était un ami, d'ailleurs nous avons beaucoup ri, jusqu'au jour où sans prévenir, il n'a plus publié...le temps s'est...

Une belle cochonne !

Une belle cochonne ! Rosette, une jeune truie bien dodue, se pavane dans la cour fleurie de la grande ferme cossue. Elle est très belle, bien fichue, toute rose, satinée, vraiment très jolie, la queue haute bien tirebouchonnée, Bien trop propre pour ses parents effarés -Mais tu t'es encore lavée ? tu es la honte de notre famille ! lui disent-ils , indignés. Nous avons une image à donner, un rang à tenir, tu ne dois pas l'oublier, ni la ternir, Ta conduite est inqualifiable : comme un cochon tu dois sentir ! Tu te comportes comme une grue à aigrette, cochonnette tu es née, cochonnette tu dois rester...

La ronde...

La ronde... Tourne, tourne la terre. Elle est toute ronde dans l'univers. Passe, passe le temps : printemps, été, automne, hiver, c'est la danse des saisons. Les secondes font les minutes, les minutes feront les heures, Rien jamais ne s'arrête, ni la terre de tourner, ni le temps de s'écouler. Tout est en place dans ce monde. Prenez une bouffée d'air. Ne bougez plus, ne respirez plus, faisons vite le cliché ! Ainsi doit continuer la ronde, la ronde des humains. Donnez-vous la main, c'est le monde de demain.

Ca s'arrose !

Ca s'arrose ! Nous étions une bande de copains, de bons copains à Balsy, tous unis dans la galère de la blogosphère, Notre Jean eut soudain une idée de génie, il nous a dit j'ouvre une communauté, aussitôt j'ai dit : j'en suis ! et j'en suis fière ! Mais pour ce faire il faut publier, le bigorneau ne l'a pas oublié, et après avoir fourni, pour ses autres communautés tout son travail de fourmi, écrit ces jours derniers, il s'est mis à son clavier. Tu vois, Balsy, même l'esprit embrumé, un bigorneau n'a qu'une parole, et même si le rhume me rend folle, je veux sortir un article en or, pour "les copains...

Chante clair !

Chante clair ! Ce matin là, la ferme a dormi tard ! Que se passe-t-il ? bougonnait le fermier en retard. Pourquoi le coq n'a-t-il pas chanté ? Les moutons dans la bergerie s'interrogent. Le berger n'est pas venu les panser. Du coq on n'a pas entendu le cri. Il avait bien essayé de lancer son cocorico, mais aucun son n'était sorti de sa gorge. - Ce n'est pas grave , lui dirent ses amis, pour une fois on s'est levé moins tôt ! - Tu as trop chanté hier, ne chante pas aujourd'hui, repose ta voix, ne fais pas le fier ! Bien qu'humilié le coq devait faire un choix : ou il réessayait maintes et maintes...