Une grosse envie de rire...
Coucou vous tous et toutes !
J'ai envie ce matin de vous faire sourire, et j'ai retrouvé un texte écrit en 2009, avec la suite écrite aussi à l'époque... Je ne m'étendrai pas plus sur le sujet... Je vous demande seulement l'indulgence...
Vous savez : "pitié elle ne sait plus ce qu'elle dit ..." Je me demande vraiment ce qui m'avait pris, mais je ris tout de même en me relisant... Bonne journée à vous ! Bisous !
Pour vous, j’ai testé…
Je me suis prise un instant pour Jean-Yves Lafesse, ce comique d’un genre unique qui produit en images des choses un peu culottées…et je vous livre par écrit le résultat de mon enquête….
Pour vous, j’ai testé l’expression bien connue, employée avec beaucoup de désinvolture : « Parle à mon cul ma tête est malade ! »
Alors voilà, avisant un joli cul rondouillard, rigolard, avenant et à l’air aimable, j’entrepris donc de lui faire un doigt de conversation…
Je l’ai fait sursauter et il a eu l’air surpris, quand m’adressant à lui, je lui ai dit tout de go :
- Je dois te parler car ta tête est malade…
- Quelle tête ? m’a-t-il très justement rétorqué… (enfin c’est ce que j’ai compris)
- Ben, celle qui est au-dessus de toi
Alors là, il a fait une tête pas possible, il ne savait plus où il avait la tête, de toute évidence un cul n’a pas de tête…
- Ben ne fais pas cette tête là ! lui ai-je dit aussitôt… J’ai insisté, et derechef, je lui ai répété, afin de lui éclaircir les idées :
- Je te parle à toi car ta tête est malade parait-il…
Sur le cul !... Il était sur le cul ! Jamais encore on ne lui avait adressé la parole… Ses nerfs l’ont lâché… Il transpirait à grosses gouttes…
Il perdait tout contrôle…
- Ne te prends pas la tête, lui ai-je dit pour le rassurer… Laisse tomber ! Laisse pisser le mérinos, comme on dit !
Alors là c’était trop, s’il se mettait à chercher le mérinos j’étais mal… J’ai donc préféré couper court à notre entretien surréaliste…
A quoi bon le faire chier !
De toute évidence un cul ne remplace pas une tête, j’en ai la conviction...
Et si vous pensez avec votre cul, vous vous fourvoyez gravement, je vous l’affirme, vous courez à la catastrophe… Reprenez le contrôle de vos idées avant qu’il ne soit trop tard…
Le cul n’est pas sûr ! Posez-le et réfléchissez… Quand vous avez la tête dans le cul, comme vous le dites, vous n’êtes pas dans votre assiette, ça ne va pas bien … C.Q.F.D.
Conclusion : Je vous en conjure n’employez plus cette expression, car vous prenez de gros risques… sachez qu’il y a toujours des plaisantins comme moi qui vous prendront au mot et le pire est à craindre… Gardez la tête froide et laissez votre cul où il est, tranquille, à l’aise dans ses baskets… Il a bien assez de soucis comme ça, le pauvre !… Il en a plein le cul à force ! Foutez-lui la paix avant qu’il ne porte plainte pour harcèlement textuel…
Il n’est jamais bon de se retrouver le cul par-dessus tête. En toute circonstance, la tête doit garder le contrôle, l’autorité… Il ne faut jamais se laisser mener par le bout du nez par un cul que ce soit le votre ou un autre…J’aurais sûrement d’autres arguments, mais j’ai un trou… Alors ne soyez pas bouchés… Serrez les fesses ! … et bon vent !
Bigornette
Cet écrit, comme un clin d'oeil pour vous avant de partir vers la fraicheur de l'océan...je l'ai pondu hier soir...hihi.. et ne me demandez pas pourquoi...
J'ajouterai que je doute avoir fait le tour du sujet, qui mérite certainement d'être approfondi...hihi ! Toutefois pour les "petits malins" qui passeraient, je préviens, ce texte est protégé...
Belle journée !...